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Témoignage Jean-Pierre Brouillaud !!!
J'ai finis par repérer que la plus part des personnes dotées de la vue, marchent souvent comme happées par l'objectif qu'elles veulent atteindre. Elles ne sont pas totalement dans la marche, mais dans leur anticipation, par exemple projetées dans la porte à ouvrir, qui se trouve à plusieurs mètres devant elles. Si elles "s'exercent" à fermer les yeux en marchant vers la même porte, elles sont davantage en résonance avec le...
Témoignage Jean-Pierre Brouillaud !!!
La souffrance se loge souvent dans notre refus de la réalité.
Untel est mort: Oui. Se dire que c'est injuste parce qu'il était jeune, relève de notre attachement à des systèmes de valeurs et à des croyances qui ne sont pas enfantés directement par le ventre de la vie.
Ce sont tout au plus des sécrétions de notre imagination.
Elles sont orphelines.
Si on s'attache à elles, on devient soi-même orphelin et on pleure,...
Témoignage Jean-Pierre Brouillaud !!!
L’homme se croyant enfermé dans sa petite bulle toute subjective, il se pense séparé des autres êtres humains. Ainsi se situe-t'il en perpétuel rapport de force et de manipulation avec ses semblables et avec l'environnement.
Cette attitude engendre l'idéal de l'impossible bonheur personnel, se traduisant par un souffrir plus ou moins muselé ou débridé selon les tempéraments.
Je me souviens que lorsque j'étais dans le désert Syrien je rêvais de Hong-Kong...
Témoignage Jean-Pierre Brouillaud !!!
Ces lignes relatent une double cécité.
La première qui est toujours actuelle, celle des yeux morts.
La seconde, fortement ébranlée aujourd'hui, qui provenait en fait de la croyance en un moi séparé de l'autre, et du mirage du bonheur permanent de ma personne.
Mais en cherchant ainsi à préserver par la fuite, par le mensonge, mon état d'existence "séparée", je ne faisais qu'attirer à moi de nouvelles opportunités de souffrir. J'étais...
Témoignage Jean-Pierre Brouillaud !!!
Un temps chemina sur les routes du monde un aveugle en souffrance qui se faisait croire qu'ailleurs le bonheur était accessible.
Ce jeune homme souffrait et au lieu d'examiner la souffrance et son origine, le moi souffrant, il préférait transformer les autres, ses parents, la société, l'infirmité, parfois Dieu, parfois son absence, en bouc-émissaires.
La raison d'être des bouc-émissaires fantômes est de nous autoriser à ne plus être responsables de l'immense...
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